« La beauté obsède le poète. Il ne la quitte des yeux qu'après l'avoir imprimée dans sa mémoire ». Pétillants d'ingéniosité, ces vers vivent dans le « Vent de liberté de Jacques Roche comme une parole de feu. Le souffle du poète rime avec son coeur et son âme, il vit dans ces poèmes palpables à l'oreille. Même à l'oreille des sourds. Et les aveugles voient... Oui, il y a quelque chose de miraculeux dans cet optimisme qui cohabite avec tant d'insanités, de violence sociétale, de fuite en avant.
« A livres en folie », la poésie engagée de Jacq
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous