L’odeur des poissons prêts pour la cuisson, le parfum des épices mélangées, le clic-clac de la « pèse-banane », le crépitement du feu, le claquement d’une assiette en carton dont on ferme le couvercle pour la passer à un acheteur, le bruit rapide d’une chaise tirée par un client pressé de passer à table, le chuchotement de ceux qui attendent « leur poisson » avec impatience, autant d’éléments qui dressent le décor du cadre qu’entretient Samuel Ozilus pour faire fonctionner son commerce, ce jeudi 30 novembre 2017.
Depuis trois ans, son
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