Si on peut encore parler de littérature haïtienne, le mérite en revient à nos poètes, nos écrivains... qui, par leurs œuvres, ont su montrer au monde entier que les Nègres sont tout aussi capables de penser, de créer, etc. A ce titre, nous avons une dette envers eux. S’inscrivant dans cette dynamique, l’Association Quatre Chemins et les Vendredis littéraires de l’Université Caraïbe ont organisé une soirée autour de la thématique « Ce qu’on doit à Georges Castera », le vendredi 24 novembre au Centre Anne Marie Morisset, une manière de rendre
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