Patrice Dilly et Philippe Bernard, sous le «charme» du métal forgé

En plus du plaisir qu'ils éprouvent de contempler les sculptures et fers des «Bos métal d'Haïti», Patrice Dilly et Philippe Bernard semblent saisir la manière dont les artistes sidérurgiques s'épient et se plient aux exigences de leur art.

Robenson Bernard
Par Robenson Bernard
17 mai 2005 | Lecture : 2 min.
En plus du plaisir qu'ils éprouvent de contempler les sculptures et fers des «Bos métal d'Haïti», Patrice Dilly et Philippe Bernard semblent saisir la manière dont les artistes sidérurgiques s'épient et se plient aux exigences de leur art. Strident. Aérien. Dans «Métamorphoses», ouvrage paru en français et en anglais aux «Editions Vents d'ailleurs» (France), ils s'appliquent à revisiter la culture haïtienne ou quelques-uns de ses arrêts commandés. Le vodou, l'art de la métamorphose ; l'imaginaire merveilleux... tout y est. «S'il vous arrive

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