L’épilepsie en Haïti, un gros mal pour une petite considération

Désormais acceptée comme une infection neurologique, l’épilepsie en Haïti ne peut que cohabiter avec les superstitions portées à son égard, qui se renforcent chaque jour en profitant du silence ou de la complicité d’une population où se démènent au moins sept facultés de médecine, un ministère de la Santé publique, une association médicale, des associations d’étudiants en médecine, de nombreuses institutions sanitaires.

B. Charlemagne CHARLORIN
SCOME/ AHEM
Par B. Charlemagne CHARLORIN SCOME/ AHEM
23 nov. 2017 | Lecture : 3 min.

Désormais acceptée comme une infection neurologique, l’épilepsie en Haïti ne peut que cohabiter avec les superstitions portées à son égard, qui se renforcent chaque jour en profitant du silence ou de la complicité d’une population où se démènent au moins sept facultés de médecine, un ministère de la Santé publique, une association médicale, des associations d’étudiants en médecine, de nombreuses institutions sanitaires.

Avec des chiffres qui aiguisent leur agressivité, ce trouble électrique de l’activité des cellules nerveuses touch

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous