Quatre ans après la sentence, la situation des victimes change, évolue et se complique. Un nombre important d’entre elles se noient dans l’anonymat en raison de leur niveau d’éducation et leurs conditions socioéconomiques précaires. Les plus connues sont celles dont les noms sont restés gravés à la suite des multiples procès entamés devant les tribunaux nationaux et internationaux contre la République dominicaine.
Selon un document du Groupe d’appui aux réfugiés et rapatriés (GARR), c’est un devoir de mémoire de toujours rappeler cet
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