Gabriel Osson (1), un émigré haïtien à Toronto, s’inquiète de l’avenir de cette catégorie sociale – plus de 400 000 en Haïti – : les restavèk. Dans son roman « Hubert, le restavèk », Hubert est placé dans une famille à la capitale. Les Mirevoix. Celui-ci sera abusé et exploité dans tous les sens du terme.
L’histoire se déroule avant le séisme du 12 janvier 2010. Hubert rêvait de cette opportunité. Il a partagé cette aspiration avec sa mère, à Jérémie. Celle-ci en parle à une parante, marchande de charbon au wharf de Jérémie, à la cap