Au gré des réflexions du directeur du Centre d’entrepreneuriat et d’innovation (CEI) et coordonnateur département de tourisme de l’Université Quisqueya, Etzer Émile, on peut comprendre que les « madan Sara » ne sont pas seulement ces marchandes qui tintamarrent beaucoup, comme l’oiseau migratoire ressemblant au moineau, et qui font le va-et-vient entre tous les marchés du pays pour acheter et revendre leurs produits. Citant des travaux réalisés par Nathalie Brisson Lamaute, il considère les madan sara comme les femmes qui se rendent aussi au Pa
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