Le N.- Laënnec Hurbon, comment avez-vous vécu la disparition de Claude C. Pierre ?
L.H- D’abord, Claude était l’homme de la convivialité. Il aimait les contacts ; il aimait discuter et partager avec les autres. À travers ses discussions, Haïti occupait toujours la première place. Sa passion pour la poésie et la discussion en témoigne. Claude portait le pays en lui, et s’épanouissait dans ses rapports avec les autres.
À Belvil où il habitait comme notre voisin, sa maison était un lieu de rencontre où les gens du quartier pouvaie