Le poème prend naissance dans la turbulence obscure de figures absentes qui dénotent un réel inconnu d’ici. L’espace se remplit de mots. L’évasion du verbe tue le vide. La fugue des mots-phrases grésille dans le temps pour signifier un coït infernal entre l’île et ses putes. Le territoire, cet espace qui crâne, dessine les prémices de ces pas vers ce voyage réinventé.
La porte du voyage grince. L’ouverture porte des yeux soleils. Bonjour au temps. Bonjour au vierge-jour. Le voyage se réinvente. Le chant se chante à la case numéro 2.
La dé
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