« Vous, petits États insulaires exposés aux changements climatiques, il faut prendre le taureau par les cornes parce qu’il y a une fenêtre d’opportunités qui a été ouverte [et] que d’autres pays ont pu saisir rapidement – je pense à des micropays comme les Maldives par exemple – qui se sont mobilisés pour porter des projets au fonds vert. C’est vraiment impératif », a clairement fait comprendre l’ambassadeur français.
Selon elle, il ne s’agit pas d’un problème d’argent qui manque mais plutôt d’un problème de bons projets car la sélection es
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