Il y a des moments spéciaux dans la carrière d’un athlète, d’un dirigeant ou d’un journaliste. Être au Mexique, en France ou au Canada vingt-cinq (25) ans avant la fin du XXe siècle, c’était en quelque sorte une formalité pour des sportifs de haut niveau, parce que certaines compétitions garantissent le déplacement des clubs et des sélections nationales d’un point à l’autre sur cette planète.
Être à Cuba avant novembre 1976, c’était la concrétisation d’un rêve qui, diplomatiquement, se trouvait sur le banc des impossibilités, surtout pour