L.N. : Dans une économie de marché, le régime des changes flottant semble le mieux indiqué, mais n’y a-t-il pas lieu de prendre quelques mesures d’accompagnement ?
A.N.: Les économistes orthodoxes disent que le taux de change flexible est un absorbeur de chocs. Je ne le crois pas. Seule la stabilité du taux de change compte d’après moi.
L.N. : Que se passerait-il si la gourde recommençait à perdre encore et encore de sa valeur, pour se retrouver à 100 ou 150 gourdes pour un dollar, un scénario pessimiste mais probable ?
A.N.: Je n’ose
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