Le Parlement ratifie deux conventions internationales sur l’apatridie

Réunis en Assemblée nationale le mercredi 22 mars 2017, les sénateurs et les députés de la 50e législature ratifient deux conventions portant sur l’apatridie. Ces deux conventions visent à aider les États à mieux traiter les problèmes liés à l’apatridie qui frappe aujourd’hui pas moins de 10 millions d’individus, dont 55% sont des enfants, à travers le monde.

Quatre instruments internationaux étaient sur la table des discussions entre les sénateurs et les députés de la 50e législature, lors de cette séance en Assemblée nationale tenue ce mercredi 22 mars 2017. Selon l’ordre du jour adopté par la majorité des membres présents, l’Assemblée devait se pencher sur deux conventions relatives à l’apatridie, les deux autres se portent respectivement sur la torture et le traitement inhumain et sur le respect des droits sociopolitiques. Sur les quatre conventions, seules les conventions des Nations unies

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous