« La ferme est en friche certes, mais derrière il y a une stratégie », justifie le manager de la compagnie Agritrans S.A. concernant l’état apparent de ruine dans lequel se trouvent actuellement les 300 hectares de plantation. « En détruisant la ferme agricole, je perds seulement moins de 10% (entre 5 et 6% exactement) des investissements car, précise-t-il, les 90% des investissements consentis dans les infrastructures sont encore là. »
Assimilant, dans un premier temps, cette destruction délibérée de la bananeraie à « un mal pour éviter le
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