Dans l'édition du Nouvelliste du samedi 4 mars, Monsieur Lemoine Bonneau titre son éditorial: "Le PM nommé essuie un camouflet au Sénat". L'onde de choc provoquée par le décès subit du président René Préval a peut-être éclipsé cet instructif article.
Monsieur Bonneau perçoit un malaise, constate les faits, tout au moins ceux-là qui sont en surface. Dans son souci patriotique et citoyen, il indique au Premier ministre nommé la route à suivre au niveau du Sénat pour sortir du guêpier.
Je suis en désaccord avec M. Bonneau sur deux points :
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