Des scènes de "dechoukaj" marquant la fin de la dictature des Duvalier à celles du séisme dévastateur à Port-au-Prince, Daniel Morel est souvent profondément perturbé par les situations dramatiques vécues par ceux qu’il photographie. Rien n’est pourtant comparable au bouleversement profond provoqué en lui par sa série de reportages sur le vaudou haïtien. Le photojournaliste réputé pour ses clichés illustrant les pages de journaux et de magazines internationaux apprécie moyennement le travail de ses collègues sur le vaudou. On préfère souvent l’