James Boyard
I.- Mise en contexte
Depuis la chute en 1993 du premier gouvernement élu démocratiquement, Haïti ne cesse de se transformer en une «entité chaotique ingouvernable et inorganique».Il devient en effet de plus en plus hypothétique pour un chef d’État, démocratiquement élu, d’achever le terme de son mandat sans connaître les menaces d’un «déchoukage» ou sans faire l’objet de contestations populaires alimentées frontalement par les groupes politiques qui, pourtant, ont été largement vaincus durant les élections.
L’observatio
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