« La littérature n’est pas un prétexte, elle est une arme », a déclaré Pascale Solages. La militante féministe, figure de proue du festival Nègès Mawon, a partagé le panel avec la directrice de la bibliothèque nationale, Emmelie Prophète, et le journaliste de radio nationale Bonel Auguste.
« Le fait que les femmes se soient accaparées de la littérature est un acte de revendication et de dénonciation », a expliqué Pascale Solages. Elle a cité des écrivaines qui ont réussi à changer l’image de la femme. Elle a évoqué entre autres, Yanick Lahen
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous