La communauté internationale, l’INITE et les germes de la violence en Haïti

Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. » (Victor Hugo, Hauteville-House, 1862 (Wikipedia)

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
21 déc. 2016 | Lecture : 6 min.
Déjà en 1862, Victor Hugo , fatigué de l’injustice et de la violence faites au peuple de France par la société vagabonde de Paris, écrivait dans « Les Misérables» Avec une tristesse sans pareille et une violence visible comparable à la violence des rues mais , invisible, qui égale les vingt années du pouvoir Lavalas, je mène chaque nuit une lutte contre l’idée d’un suicide et contre la violence politique exercée par le président Préval, Lavalas, Espoir et INITE sur « Les Misérables » d’Haïti en ces jours funestes de fin de règne.

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