On m’avait dit qu’il fallait que je sois forte, que cela passerait…encore un moment et ma peine ne serait plus. J’apprendrais à vivre dans un monde où tu n’es plus, je réapprendrais à m’adonner à ces activités qu’on faisait ensemble sans ressentir ce vide immense, ce sentiment de dépareillement.
Mais voilà, je n’y arrive toujours pas. Je cache ma peine puisqu’on me réprimande quand je la laisse au vu d’autres. On m’a dérobé le droit de faire mon deuil à mon rythme, car ne cesse-t-on de me répéter, « cela fait bien trop longtemps, il faut que t
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