Présent sur la scène de la Fokal les 25 et 26 novembre dernier, il a enfilé les gants du boxeur noir américain, dans « M’appelle Mohamed Ali », pièce écrite par le dramaturge congolais Dieudonné Niangouna. Retour sur le parcours hors du commun d'un boxeur emblématique.
Ali, c'est surtout l'expression vivante du sentiment d'appartenance à l'Alma mater, l’Afrique. La pièce est un vrai succès. Elle voyage sur les planches, en Afrique, en Europe et depuis cette 13e édition de Quatre Chemins, en Haïti.
Les trois coups qui annoncent l’ouvertu
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