OMAYRA est avant tout un bruit, un cri, plusieurs phonèmes formant un chœur. Un évident appel à l’écoute. Impossible de faire la sourde oreille au milieu d’un pareil champ sonore. Le hall de la FOKAL reçoit la première scène. Deux hommes en haut de l’escalier, un autre debout devant la porte d’entrée de la salle de théâtre. L’épisode est rythmé de sons lancinants venus de partout. Debout, le public baigne dans une ambiance digne d’un film d’épouvante.
Deuxième scène, l’entrée en salle
Le bruit accompagne chacun. Il envahit l'espace. I