Mémoire et migration, la partie de l’exposition « Yon zile pou de» au Centre d’art est une immersion dans un monde marginal. Un road-trip à bord d’un 4x4 dans un no man’s land des plus désillusionnants. Sans le livret de guide, l’observateur lambda croirait à une adaptation en photographie d’un roman misérabiliste.
D’une photo à l’autre, on découvre le désarroi d’une foule d’apatrides qui évoluent dans un paysage parfois boueux, avec des tentes témoignant de la pauvreté extrême de leurs occupants. Mais il n’y a pas que la tristesse que l’
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