Le Nouvelliste (L.N.) : Comment percevez-vous la sociologie du deuil en Haïti et chez les Africains ?
Pierre Clitandre (P.C.) : Je ne suis pas ethnologue ni sociologue. Je n’en ai que des notions sommaires. Par contre, l’expérience que j’ai sur le plan littéraire me permet de comprendre les similarités entre la notion du deuil en Afrique et Haïti. Surtout les similarités culturelles. On peut imaginer, par son impact, qu’il existe une fête de la mort en Haïti. Il en est de même qu’au Mexique où le même phénomène est constaté.
Sur le pla
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