«Je n’ai pas l’habitude de mendier, mais cette fois je dois [le faire] », déclare Guy Philippe au New York Times. « C’est la première fois de ma vie, je sens que je ne peux rien faire pour mon peuple. Ils sont affamés », poursuit-il, faisant référence aux 80 000 personnes habitant sa ville natale, Pestel, nichée sur des montagnes escarpées.
Alors que l'aide a déjà atteint de nombreuses régions dans le sud du pays, en particulier les grandes villes, les coins les plus reculés ont trouvé peu de soutien des convois de camions chargés de nourrit
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous