De la nécessité de préserver la mémoire de Dessalines

Au Musée du panthéon national d’Haïti (MUPANAH), le vendredi 14 octobre 2016, le sociologue et photographe, spécialiste du patrimoine culturel, Kesler Bien-Aimé, a prononcé une conférence sur Jean-Jacques Dessalines, le père fondateur d’Haïti.

Kesler BIEN-AIMÉ
MUPANAH
14 octobre, 2016
Par Kesler BIEN-AIMÉ MUPANAH 14 octobre, 2016
18 oct. 2016 | Lecture : 4 min.
Quelle mémoire ? S’agit-il de la mémoire collective, de la mémoire historique ou sociale de ce symbole de liberté partout où se trouveraient des esclaves ? « M ap nonmen non l, mwen pap detounen l. » En effet, bien souvent, dans des conjonctures sociales et politiques périlleuses, dans un sens ou dans un autre, le nom de Jean Jacques Dessalines est évoqué. Quand il faut faire référence à la bravoure, au nationalisme, à l’obligation de rupture avec la France, à la défense du territoire, comme dans ce mot d’ordre: «souvenez-vous aucune natio
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