Faubert Bolivar : « Un homme est passé par là »

La poésie a déserté la ville des poètes.

Wébert Lahens								 													webblahens@yahoo.fr
Par Wébert Lahens webblahens@yahoo.fr
24 oct. 2016 | Lecture : 3 min.
La poésie a déserté la ville des poètes. La nouvelle la plus terrifiante de ce mois d’octobre : le cyclone Matthew a chassé la rencontre des poètes pour la sixième édition du festival de poésie à Jérémie. Pourtant, le poète Faubert Bolivar l’a rappelé à la tempête : « Une pierre est tombée, un homme est passé par là. » Qui est-il cet homme qui jette le gant à la tornade ? Quelles gammes mobilise-t-il ? Abordera-t-il le combat en do ? sol ? Ou bien, un ton plus bas, en creux ? Tout bonnement, composer des charmes, des poèmes, dans le même sens
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