un an après Aristide

Latortue: la délicate mission

Avec une mission des Nations Unies qui ne stabilise rien, une force de police d'à peine 4000 membres, une aide internationale qui se fait attendre, la guérilla urbaine, installée depuis septembre 2004, et en particulier après le raid contre le Pénitencier national.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
01 mars 2005 | Lecture : 3 min.
Avec une mission des Nations Unies qui ne stabilise rien, une force de police d'à peine 4000 membres, une aide internationale qui se fait attendre, la guérilla urbaine, installée depuis septembre 2004, et en particulier après le raid contre le Pénitencier national... le rire du chef de gouvernement est en passe de devenir un rictus. L'évasion spectaculaire de 481 détenus fragilise le fauteuil de Gérard Latortue, qui, depuis bientôt un an, a opéré deux légers remaniements ministériels pour tenter de répondre aux desiderata d'une population démun
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