«Pa gen anpil kontra. Pa gen force de travail du tout », s'exprime avec découragement Maritane Joseph, seule, en direct de son atelier de couture au centre-ville des Gonaïves. Avec quelques maigres commandes de tailleurs et de jupes de clientes du secteur, l'entrepreneure ne peut fournir du travail à temps plein à ses employés.
Les chefs d'ateliers de production du pays doivent mettre les bouchées doubles pour survivre. Tirer leur épingle du jeu pour répondre aux exigences de leurs clients, alors qu'ils peinent à concurrencer les produits
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