« La situation ne permet pas à Washington de rester sans rien faire. Ils l'ont élu et ils doivent [sic] faire pression sur lui. Il doit rester sous contrôle », a écrit Laura Graham, alors chef des opérations à la Fondation Clinton, à Bill Clinton au début de l’année 2012. Graham, selon CEPR, faisait référence au comportement on ne peut plus fantasque, et potentiellement dangereux, du président Michel Martelly.
Quand elle dit qu’«Ils l'ont élu », elle fait référence au gouvernement américain, qui est intervenu à travers l'OEA pour modifier
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous