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Dans l’incipit de son essai intitulé « Lire aux cabinets », Henri Miller affirme que « ce qui rend vivant un livre est la recommandation passionnée qu’un lecteur en fait à un autre ». C’est le but premier de cette rubrique qui n’a de cesse de partager avec vous les livres. Contrairement à une idée farfelue de la romancière Emmelie Prophète, actuelle directrice de la Bibliothèque nationale d'Haïti (BNH) et ancienne directrice de la Direction nationale du livre (DNL), ce n’est pas la recension d’un journaliste dans les colonnes d’un quotidien qui donnera vie aux livres, encore moins aux écrivains. Mais l’accompagnement réel et significatif que l’État haïtien donnera aux opérateurs de la chaîne pour donner à notre littérature des reins solides. Ainsi, l’ancienne présidente du jury de la Bourse Barbancourt, en dépit de son bovarysme culturel, cessera de mettre au pilori, avec ses critiques à l’emporte-pièce, les créateurs et les éditeurs de chez nous en vantant les qualités des productions littéraires venant du Québec ou de France. Pour ce mois-ci, je vous propose deux essais et un classique de la littérature de chez nous. Espérons que la voix des « Carnets » du 100.9 ne confondra plus Barthes et Pennac, car même s’ils parlent la même langue, ils ne disent pas du tout la même chose.
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