Vendredi soir, le Decameron s’active comme une fourmilière. Il est 8 heures trente quand nous arrivons à la réception de l’hôtel. Les organisateurs avaient déjà tout arrangé pour que notre enregistrement se fasse sans encombre. Mais on perd quand même quelques bonnes minutes. Beaucoup de monde arrive ce soir-là : diaspora, festivaliers ou tout simplement des familles qui veulent profiter de la plage. Les lignes sont longues et le service est au ralenti, mais on y parvient, lentement mais sûrement. À la volée, nous rencontrons Aly Acacia, l’un d
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