Il est huit heures trente du soir. J'écris en plein black-out. L'électricité a disparu depuis plus de soixante-douze heures. Son retour prochain n'est pas certain. Le reste d'énergie contenu dans mon lap-top fait curieusement de moi un privilégié dans le quartier, plongé depuis la tombée de la nuit dans l'obscurité et l'ennui.
J'espère terminer mon travail avant que les batteries de l'appareil me lâchent, comme l'avaient fait au cours de la journée celles de mon inverter et bien avant elles la bonne grâce de mon fournisseur en énergie élect
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