Les images des personnes brûlées vives, défigurées, trottent encore dans les têtes. Sans l’hôpital Sainte-Thérèse qui s’était mis en quatre pour se parer du désastre ce jour-là, le bilan aurait été plus lourd, plus amer. « C’était une catastrophe inédite », se remémore, non sans émotion, ce membre du conseil de gestion de l’hôpital. Sous les yeux des parlementaires de l’APH, en pimpant pour signifier cette marque de solidarité, il parle de « négligences graves, de laisser-aller à corriger » dans la société, avant que Gary Bodeau ne prenne le re
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