Dans le jardin de l’hôtel, les dernières valises s’alignent comme des wagons, en attendant le petit train, à traction électrique, qui viendra les convoyer au parking. Et hop ! dans le bus qui se charge peu à peu des affaires de la troupe qui va bientôt se disperser. C’est la fin du séjour. Derrière les fenêtres des mains s’agitent en guise de salut, des mouchoirs s’envolent affolés par l’adieu brutal qui s’annonce. Je sens ce que je perds en affection et en réminiscences joyeuses à chaque seconde qui nous rapproche de l’échéance de neuf heures
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