Et si la génération des jeunes écrivains n’avait à l’esprit qu’à bouleverser les tabous ? Markenzy Orcel l’a fait dans "Les Latrines", Martine Fidèle dans "Double corps". Et maintenant, Jean Billy Mondésir dans "Il fallait venir un soir". Il s’appelle Rochar Monteau Bruitar. Il connaît la ville, mieux que quiconque. Il bouge. Monteau, fils unique d’une mère aux conditions de vie modestes qui ne rêve que le meilleur pour son fils, n’a jamais su rencontrer à l’autre bout de la fenêtre le meilleur. Entre l’alcool et les femmes, Monteau perd son t