Paru treize années après la mort de Marie Vieux-Chauvet (1916-1973), à la place de sa trilogie « Amour, Colère et Folie » qui venait de remporter le prix littéraire Henri Deschamps, « Les rapaces » s’inscrit dans la même lignée des romans dénonçant la barbarie duvaliériste. En cent vingt pages, la romancière dresse le portrait accablant d’une société aux prises avec des démons, des mesquins qui ne jurent que par le pouvoir, la violence, les rapts, le mensonge et l’hypocrisie pour faire fortune.
Michel est un jeune écrivain épris du désir de
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