Vaccination : Pour ou contre ?

Depuis l’introduction du premier vaccin humain par Louis Pasteur à la fin du XIXe siècle, les scientifiques œuvrant dans le domaine, particulièrement les immunologistes, n’ont cessé de faire travailler leurs méninges en utilisant des substances à la fois naturelles et synthétiques afin de produire des vaccins contre diverses pathologies. Grâce à leur travail, on compte de nos jours un grand nombre de vaccins, que ce soit pour la prévention des maladies aussi bénignes que la grippe que celles des pathologies plus graves ou plus sévères comme l’hépatite B. Dans un passé pas trop lointain, des maladies aussi banales que la rougeole, la diphtérie tuaient à grande échelle ; d’autres invalidaient un nombre incalculable d’enfants et d’adultes comme ce fut le cas pour la poliomyélite (polio). En nous référant à ces tableaux macabres du XIXe siècle, où des populations entières étaient décimées par toutes sortes de maladies infectieuses, on ne saurait que clamer l’introduction de ces substances à caractère préventif dans la civilisation actuelle.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
29 avr. 2016 | Lecture : 3 min.
La vaccination est ce processus consistant à introduire chez un individu un antigène dérivé d’une bactérie ou d’un virus de manière à permettre à son organisme de se protéger contre la survenue d’une maladie liée à cette bactérie ou ce virus. Rappelons rapidement que les vaccins permettent de lutter contre des épidémies, d’éradiquer des maladies, de protéger certaines personnes ou groupes exposés à des pathologies spécifiques. La vaccination a une fonction particulièrement importante chez les nouveau-nés. En effet, après un séjour d’environ 9 m
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