Parmi les histoires qui ont bercé mon enfance et dont j’ai perdu la mémoire, les contes de « Bouki et Malice » sont sans doute ceux qui m’ont le plus marqué. Une constante traverse ces contes. Bouki est le sot, Malice comme son nom le suggère, est l’intelligent (au sens créole et au sens français du terme). Bouki tombe régulièrement dans les pièges de Malice qui profite de son ignorance et de sa naïveté. Il est même un conte où Malice suggère à Bouki de laver sa maman avec de l’eau bouillante. Résultat : Manman Bouki mouri dan griyen. Nous avon
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous