À côté des difficultés rencontrées face à «l’establishment» que nous avons considérées antérieurement en parlant du Foyer des arts plastiques, il y avait aussi le fait que ce regroupement d’artistes n’a pas été soutenu par une certaine critique locale qui le considérait comme une expérience périlleuse. Dans son «Panorama de l’art haïtien» (1956) Philippe Thoby-Marcelin n’hésite pas à malmener René Exumé et Dieudonné Cédor qui, dit-il, n’avaient rien gagné en quittant le Centre d’art. «…ils se sont pervertis à ce déniaisement et ils auraient mi
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