La main derrière… leur dolce vita

Vous connaissez de ces jeunes femmes-là qui font la fête tous les weekends, et pas des moindres, jet-skis, yachts privés, restaurants huppés, plages privées, grands voyages – en solo ou avec leur bande de copines – et vous font remettre en question toute votre existence ? Non, « I am not hating ». J’ai aussi eu ma dose de dolce vita, moi aussi, mesdames. Et j’avoue que c’était 50/50. Vous comprendrez mon chiffre plus bas.

Gabrielle Jones
31 mars 2016 — Lecture : 2 min.
Ne vous méprenez pas, je connais des femmes qui ont travaillé dur pour leur dolce vita. Qui ont un travail, une entreprise, une belle carrière. Et, mesdames, je vous félicite. Tenez bon ! D’autres sont nées dans la dolce vita et leur train de vie nous font carrément rougir. Et d’autres, celles-dont je parle-là, les 50/50 (celles qui ont un bon train de vie mais ne refusent pas un petit coup de pouce) ; et les 100 % (celles qui n’ont ni de lieu de travail ni de carrière officielle), ne nous montreraient-elles pas qu’un seul côté de la médaille ?

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