A Léogâne, les rideaux sont tombés sur le défilé des bandes de rara. Dimanche 27 mars, 4 heures 33, au cœur de la ville, des milliers de gens investissent les artères conduisant à la grand-rue. Des ouvriers exécutent les derniers ouvrages pour l’achèvement des tribunes. Les bruits des marteaux résonnent, parallèlement les stands reçoivent les derniers revêtements de peinture. Dans un tumulte intense, des haut-parleurs émettent des décibels des derniers enregistrements des bandes rara de la cité d’Anacaona et, simultanément, des jeunes aux acco
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