De la vallée de l’Artibonite à la plaine des Gonaïves, la sécheresse bat son plein. Les principaux canaux d’irrigation ne sont pas curés. L’eau ne ruisselle pas dans les champs depuis plusieurs mois. Les cultivateurs sont aux abois. Ils s’en plaignent tous de la sécheresse chronique qui ravage les plantations, leur principale source de revenus.
Walter Paul est un cultivateur de la plaine des Gonaïves. Il vit exclusivement de l’agriculture. Lors de la dernière campagne d’haricots, il dit avoir perdu toute sa récolte. «Cette année, les chose
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous