Lettre à Pradine C. Boileau sur le Centenaire du Procès de la Consolidation

Par Antoine Duprate David Mon Cher Boileau, Après la lecture d' un article dans un des derniers numéros du journal Le Matin autour du sujet précité, tu m'as signalé ce point qui a particulièrement retenu ton attention, à savoir l'application de cette locution à ce grand procès clôturé le 25 décembre 1904 : « C'est la montagne qui a accouché d'une souris » Peut-on dire une situation toute haïtienne dans notre « singulier petit pays » où les contingences politiques assimilées à certains tabous l'emportent sur des décisions légales? Néanmoins, mon cher Boileau, les évènements et les faits demeurent toujours consignés dans les pages historiques au point de reprendre avec l'autre : « Les enseignements de l'histoire sont profitables à ceux qui savent les utiliser à bon escient.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
24 janv. 2005 | Lecture : 18 min.
Par Antoine Duprate David Mon Cher Boileau, Après la lecture d' un article dans un des derniers numéros du journal Le Matin autour du sujet précité, tu m'as signalé ce point qui a particulièrement retenu ton attention, à savoir l'application de cette locution à ce grand procès clôturé le 25 décembre 1904 : « C'est la montagne qui a accouché d'une souris » Peut-on dire une situation toute haïtienne dans notre « singulier petit pays » où les contingences politiques assimilées à certains tabous l'emportent sur des décisions légales?
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