J'aurais voulu que je n'aurais pas pu.
Mais encore fallait-il que je le veuille vraiment. Je veux le vouloir, ou le crois-je tout au moins.
Cet homme est comme une tache résistante, une sangsue qui me colle à la peau, un dessin tatoué sur mon corps, une addiction, un péché mignon... Pas si mignon, en fait.
Il y a à peine deux heures, je me jurais que j'allais le quitter, qu'au coucher du soleil, lui et moi serions de l'histoire ancienne. Qu'à l'aube, alors qu'il serait paisiblement allongé dans le lit conjugal qu'il a maintes fois parj
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