Des étudiants, des collègues de l’Université d’État d’Haïti (UEH) m’ont demandé d’exprimer ma position sur ce qu’il convient de considérer comme la grande crise de gouvernance de l’UEH. Ma réponse, à chaque fois, est que je ne comprends pas assez les contours de la situation pour oser en parler publiquement. J’avoue que je ne la comprends toujours pas, mais je me risque quand même à placer un mot, car son état de pourrissement me l’enjoint. Ce qui m’empêche de comprendre ce lugubre état de fait, c’est notamment cette cécité qui caractérise la d
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous