À Port-au-Prince, dans certains endroits, petits détaillants et piles d’immondices, dans une déconcertante désinvolture, se côtoient. Au cœur de ce décor, les gens marchent, mangent et vaquent à leurs activités. Presque tous les trottoirs sont squattés par des gagne-petit. Sous un chaud soleil, dans les petits marchés improvisés et grands marchés formels de la capitale, l’odeur pestilentielle qui se dégage couvre la ville. Les citoyens semblent ne guère s’en soucier. Ils s’en accommodent, comme si de rien n’était, dans une incroyable insoucianc
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