Exposition à l’Institut français en Haïti/Tessa Mars

« Tessalines et moi » ou le « cochon » comme métaphore

Wébert Lahens « Tessalines et moi », le titre de l’exposition de Tessa Mars, a une résonnance d’histoire personnelle.

Wébert Lahens
webblahens@yahoo.fr
Par Wébert Lahens webblahens@yahoo.fr
18 févr. 2016 | Lecture : 3 min.
Wébert Lahens « Tessalines et moi », le titre de l’exposition de Tessa Mars, a une résonnance d’histoire personnelle. Il faut honorer les œuvres de Tessa d’une visite à l’Institut français en Haïti pour comprendre Tessalines. L’artiste peintre s’est évertuée à arranger deux histoires sur un fond lyrique. Elle fait appel au passé glorieux de Dessalines, l’ancêtre et à quelques scènes plus intimes qui soulignent l’enfance violée. Tessalines ! Que dire ? Tessa Mars emprunte une métaphore, le cochon, populaire pour rendre avec force le suje

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