Wébert Lahens
« Tessalines et moi », le titre de l’exposition de Tessa Mars, a une résonnance d’histoire personnelle. Il faut honorer les œuvres de Tessa d’une visite à l’Institut français en Haïti pour comprendre Tessalines. L’artiste peintre s’est évertuée à arranger deux histoires sur un fond lyrique. Elle fait appel au passé glorieux de Dessalines, l’ancêtre et à quelques scènes plus intimes qui soulignent l’enfance violée.
Tessalines ! Que dire ? Tessa Mars emprunte une métaphore, le cochon, populaire pour rendre avec force le suje
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous