7 février 2016. Il est dix heures et quelques bonnes minutes. Le périmètre du Parlement est bouclé par des policiers de différentes unités spécialisées. Il y a peu de curieux, aucun manifestant face au camion lance-eau, face à la haie de sécurité mise en place par des policiers anti-émeute. RAS. Le balai des véhicules à plaques officielles ou du corps diplomatique occupe les hommes en faction au Bicentenaire.
Presque bouffés par l’ennui, ceux qui sont là par devoir et obligation, entre la mer et des immeubles vétustes, témoins jadis de la sp
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous